vendredi 29 janvier 2010
Alcool pas cool
J'en étais donc à mes accès libidineux de quand c'est-t-y que j'ai un peu bu (quand j'ai trop bu, je dors direct).
Du fameux french paradox, je retiens surtout l'effet vaso-dilatateur de l'alcool, effet loin d'être négligeable (à moins tout simplement que l'alcool, au lieu de me faire voir double, me fasse voir plus gros).
De plus l'alcool provoque une perte de sensibilité qui, à défaut de me permettre de hurler de plaisir comme un goret, m'autorise une endurance tout à fait honorable.
Sauf que (queue?) le tout s'accompagne d'un tonus musculaire digne des publicités "Tu t'es vu quand t'as bu?"
Pour synthétiser les phrases précédentes, passons-donc pas la rubrique CULture et citons Félix:
Donnez-moi un morceau de cette chose longue et molle...
Ce billet, écrit à 09:28 par Jid dans la catégorie Ego a suscité :
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