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Trentaine ordinaire

Petit journal extime d'un trentenaire ordinaire        

lundi 30 octobre 2006

Phrase qui tue

Le lundi, c'est Chaînes. Je reprend les réponse qui tuent de Dodinette en le mettant à ma sauce.

Conversation banale dans la voiture:
ma femme et moi derrière, ma tante devant tandis que son mari est allé chercher quelque chose dans la maison.

C'est un couple d'une soixantaine d'années qui a suivi l'évolution physique de Bardot et Castaldi.

Mon oncle s'éternise et ma tante va voir ce qui se passe: elle revient énervée en s'exclamant:
Il est lent mais il est lent!! Il m'énerve comment il est devenu lent,
tiens même quand il me fait l'amour, il est lent maintenant.

Sous le choc, avec ma femme, nous n'avons même pas pu nous bouger un muscle en 10 minutes sous peine de partir en fou-rire.


mercredi 25 octobre 2006

Couples en tension

Cela faisait bien longtemps que je n'ai pas fait un peu de sociologie de comptoir!!



Dans les couples en crise, on reconnaît des schémas classiques:

-le mari pas assez présent (au boulot et/ou au café, voire au sport)

-la femme transformée (uniquement) en mère

-le mari trop présent et qui n'en fout pas une (bloqué devant la télé/ordinateur/console)

-la femme qui veut que le mari fasse sa part de corvées tâches ménagères



Que du connu, du reconnu depuis longtemps.

Mais j'aime particulièrement le nouveau schéma émergent:


la femme qui se plaint que son mari pense moins à elle qu'aux tâches ménagères (enfants compris).




Mesdames, attention à vos souhaits: ils peuvent se réaliser ;-)


lundi 23 octobre 2006

Réponses qui tuent

Le lundi, c'est Chaînes.

Cette fois-ci, je l'ai piqué chez les Dodinous.
Mais bon, comme rien ne m'est venu à l'esprit, j'ai changé de "réponse qui tue".

21 ans, j'avais un bon béguin pour cette fille, pire qu'un coup de foudre (dont la passion s'émousse) cela s'était développé tout doucement lors d'un week-end de fête chez des amis.
J'avais choisi l'option correspondance (de toutes façons, on étudiait à plusieurs centaines de kilomètres l'un de l'autre): poème de déclaration et autre littérature romantique.
Réponse bateau mais agréable et me laissant de l'espoir: "je sors brisée d'une histoire, il me faut du temps".

Un an complet passe, je ne fais pas le gros lourd: je lui écrit presque mensuellement (elle répond trimestriellement), je lui téléphone 1 paire de fois (cela se passe vraiment bien) mais je ne lui propose jamais de la voir (de toutes façons, on n'est jamais proche géographiquement).

Le même week-end de fête arrive, elle est invitée, moi aussi.
J'ai le coeur qui palpite et il explose presque lorsque je la revoie enfin.
Sourires, bises sur la joue (je défaille rien qu'à la douceur de sa peau).

L'après-midi puis la soirée passent tranquillement (guitare et chants, tennis, barbecue, danses,...):
vers 01h00 du matin, je vais la voir et lui demande tranquillement quand est-ce que je pourrais l'inviter à dîner.

Elle me répond:

DANS UNE AUTRE VIE.



Une heure après j'en chialais encore.

mercredi 18 octobre 2006

Email-lage de pinceaux

Suite à la reflexion suivante "Les messageries dans les grandes entreprises, c’est un peu le meilleur et le pire ennemi de l’homme." lue chez "Drama" (oui c'est vieux de plusieurs mois, de temps en temps je commence une note au brouillon).

C'était du temps où le mail (externe) commençait à devenir presque aussi commun que le téléphone dans les entreprises (99-2000), où il n'y avait pas encore eu les histoire d'employés licenciés pour abus de boîte mail.

On recevait plusieurs fois par jour des pièces jointes exécutables sur lesquels on s'empressait de cliquer (puis que l'on transférait aux connaissances): l'ordinateur se mettait alors à meugler ou à se renverser, et 2 fois 3 il fallait rebooter car ça bloquait Windows.
Vingt fois par jour, c'était des images de sequse qui nous arrivaient, toutes plus crades les unes que les autres.

Puis un jour, alors que je transférais des images particulièrement immondes, je me suis rendu compte que je m'étais planté dans les noms des destinataires, le bon nom mais pas le bon prénom, bien entendu adressé vers une femme totalement inconnue...

Comme pour Drama, la messagerie d'alors (Groupwise) permettait d'annuler un message tant que le destinataire ne l'avait pas lu.
Je me voyais déjà renvoyé pour faute grave, je peux vous dire que ce furent des minutes très très longues ;-((



Voilà, Groupwise c'est un message d'amour et de remerciement que je te lance.
ps: Lotus, t'es tout pourri!

lundi 16 octobre 2006

la chaîne des caves

Le lundi, c'est Chaînes.

Comme je n'en ai pas trouvé de simple à suivre, en voici une nouvelle.
Après la chaînes des frigos, voici la chaînes des caves.

Ma petite femme a décidé de faire du ménage dans les armoires.
L'hypothèse de tri a été simple:
une affaire non portée dans les 18 derniers mois, hop virée.

L'amoncellement d'habits a ensuite été mis dans des sac poubelles qui ont été descendus à la cave en attendant de partir chez les cousines du bled.

Personnellement je ne vois pas comment cela pourrait partir avec les bagages normaux de touristes, il y a de quoi affrêter un conteneur!!!.

Je vous laisse juge en images.




(oui, il me reste un rouleau d'isolant à l'aluminium, je me suis vautré dans les mesures: j'ai oublié de décompter les plinthes de la superficie à recouvrir)


jeudi 12 octobre 2006

Comment tenir au moins 3 minutes?

Comment tenir au moins 3 minutes? est quand même une question super importante,
et d'actualité que l'on soit jeune ou vieux.

C'est un truc qu'il faut apprendre dès le début sinon il est ensuite très difficile de modifier son timing.
Je ne me suis jamais chronométré mais je ne pense pas tenir plus de 2 minutes, plutôt 1 en général.

Quand j'y pense, cela me gêne un peu de ne pas être dans les normes officielles, mais je ne dois pas être le seul (en plus, il paraît qu'il faut aussi se brosser la langue, moi je trouve cela bizarre).

Et puis, je m'en fiche, mes dents sont saines et ne me font pas souffrir.

Mais hier, j'ai trouvé un bon truc pour me brosser les dents longtemps, longtemps:
une petite bouffée de locabiotal juste avant.

Le goût dans la bouche est tellement immonde que j'ai utilisé la moitié du tube de dentifrice ;-)

lundi 9 octobre 2006

Radicalisme

J'ai peur que mon fils tourne islamiste,
à seulement 9 mois il commence à faire ramadan:

il se réveille à 05h00 pour manger!!!

vendredi 6 octobre 2006

Traumatisme du pot

J'ai de la chance avec mon petit dernier, il a tendance à ne gros-commissionner qu'en journée: c'est donc les animatrices de crêches qui s'en occupent (le week-end c'est plus ma femme, moi c'est en semaine pour la couche du matin et celle du soir).

J'en étais donc dans ces réflexions hier (pas en le changeant, car actuellement il bouge tellement qu'il faut toute la concentration possible pour l'empêcher de s'échapper) en essayant de me rappeler de quand est-ce que le pot commence.
Ouf, on est encore bien loin de la date butoir de rentrée à la maternelle et rien ne presse depuis que les couches font partie de la consommation courante d'un ménage (une pensée émue, et horrifiée, pour les utilisateurs de langes -à laver et à relaver et à relaver....).

Je me suis souvenu des colères de ma fille quand il a fallu l'entraîner au pot: des dizaines d'essais à gronder, à la faire tenir de force (dès fois carrément plusieurs dizaines de secondes),....

Pour vous dire, je ne suis pas sûr que nous ayons obtenu plus de 2 pipis en 6 mois de "training": faut dire que ma fille est une traumatisée de la commission, c'est marqué dans tous les magazines et c'est la faute de ses parents!
Rendez-vous compte: parents démoniaques et irresponsables qui ne respectont pas la pudeur et le psyché de nos fragiles têtes blondes, nous osons aller aux toilettes sans fermer la porte (et même nous acceptons que nos enfants nous regardent!!!).

Les magazines ont raison (comme d'habitude ;-) traumatisée qu'elle était!
Mais seulement du pot!
Un réducteur sur les toilettes pour être au même endroit que papa-maman et je peux vous assurer que cela s'est passé très bien.






Oui je sais, c'est faiblard comme note mais figurez vous que j'ai du boulot.
En plus, de lundi à mercredi, je pose du lambris -pause blog donc- et franchement cela ne m'enchante pas.


jeudi 5 octobre 2006

La honte du mois

La directrice de crêche à ma femme:

-Je n'ai jamais vu un enfant baver autant que votre fils.

(note mesquine du rédacteur: ça ne fait même pas 5 ans qu'elle bosse, elle n'a sûrement pas déjà tout vu!!!)

-On sait partout où il est passé, il suffit de suivre les flaques.



(l'aluminium derrière, c'est de l'isolation que je vient de poser, le lambris viendra après)

mardi 3 octobre 2006

Marly Gomont et le regroupement familial

Cette vidéo se balade depuis plusieurs semaines et beaucoup de sites en ont déjà fait un billet.
http://www.kamini.fr/
(la 1ère fois, c'était chez Hervé Resse, la dernière fois chez les louves)

Bien entendu, je ressens un peu de compassion pour cette famille de blacks solitaire, paumée au milieu des champs et cernée par les rouges (c'est bien connu que les paysans ont le teint rouge).
Mais je ne peux m'empêcher de penser à la chance que ce jeune a eu de ne pas se retrouver dans une grande-ville.

Je ne vais pas faire de grand discours théoriques, je vais prendre un exemple simple: la famille de ma femme.

Mon beau-père (algérien, je vous le rappelle) a effectué le regroupement familial en Normandie, dans un village assez grand pour avoir son école primaire (mais pas assez pour un collège): la demi-douzaine d'enfants s'en est sortie honorablement, avec plus ou moins de résultats dans les études mais reconnue compétente dans leur métier respectif.

Des cousins, eux, ont atterri en pleine banlieue-citée.
Le bilan est simple : études très courtes voire écourtées, et de grandes difficultés pour trouver un travail rémunérateur.

D'autres cousins avaient plus de potentiel car il y avait de l'argent, ils ont été élevés en banlieue moyenne: ils ont donc réussi dans la vie, pensez-vous?

Et bien, c'est de là que vient ma conclusion que les banlieues (citée ou non) pourrissent tous les jeunes qu'elles élèvent:
ces derniers cousins ont fini commercial et policier, si ça c'est pas la honte ;-)


lundi 2 octobre 2006

Boulette

Vous avez remarqué comme "bye" et "bises" sont très proches à dire?

Et que ça peut facilement mettre la honte quand on clôt une conversation téléphonique professionnelle?



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