lundi 31 mars 2008
Conte de la pleine lune
Il était une fois un jeune couple de jeunes.
Le samedi soir le jeune homme empruntait la voiture de ses parents (avec leur consentement: c'est un jeune homme bien comme il faut, presque le gendre idéal pour dire) pour sortir son amoureuse.
Il allait la chercher chez ses parents (à elle – suivez un peu) et l'emmenait en carrosse[1] faire la tournée des grands ducs.[2]
Comme dans les contes, elle devait rentrer dans ses draps de petite fille sage pour au plus tard la mi-nuit.
Sauf que dans ce conte-ci, s'il n'y a pas à proprement parler de méchant loup (je vous vois venir là: non, je ne suis pas le méchant loup, je vous dis que je suis le gendre idéal!!![3]) il n'y a pas non plus de pucelle effarouchée.
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Notes
[1] au centre-ville tout en respectant les limitations de vitesse, et en espérant trouver une place pour se garer sans créneau difficile
[2] un petit resto et de temps en temps un ciné
[3] Un truc marrant avec le gendre idéal, c'est que ce n'est pas le même que le mari idéal: le gendre idéal est quelqu'un de gentil qui va prendre soin de votre fille, le mari idéal a une odeur d'aventure (synonyme de danger et de souffrance), pas du tout ce que désirent des parents pour leur progéniture
Ce billet, écrit à 10:25 par Jid dans la catégorie Chaînes a suscité :
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