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Trentaine ordinaire

Petit journal extime d'un trentenaire ordinaire        

lundi 30 juillet 2007

Pensées du matin

Lundi matin, télé en arrière-plan pendant l'habillage (ma femme n'étant pas du matin, j'ai intérêt à me taire; comme j'aime avoir un fond sonore, à défaut de ma voix, je mets la télé).

Je cite de mémoire (je pense que c'est assez fidèle, non pas que j'ai une bonne mémoire mais l'information en juillet est tout de même assez simple à retenir):

Le président va partir 3 semaines en vacances.

1ère pensée qui m'a traversé l'esprit: 0,5 seconde
ça c'est ma veine, il va partir en même temps que moi: alors que je ne vais plus m'intéresser aux infos, il ne va plus être sur les ondes.

2ème pensée: 0,5 seconde
il faudrait compter tout de même le nombre de fois où il va intervenir alors qu'il est sensé être en vacances.

3ème pensée: 0,5 seconde
il a été élu quand déjà? En mai? ça fait 3 mois qu'il a commencé et il prend des vacances?
J'imagine la tête d'un patron si un de ses employés partait 3 semaines en vacances 3 mois seulement après le début de son CDD: bordel, au bout de 3 mois, au mieux on a le droit à 3 journées de RTT!

4ème pensée: 20 secondes
Elle a un beau cul ma femme quand même.[1]

5ème pensée: 0,5 seconde
Finalement ça doit être vrai que les français ne s'intéressent pas à la politique
et qu'ils ont les politiques qu'ils méritent.

6ème pensée: 20 secondes
Elle a un beau cul ma femme quand même.[2]



Notes

[1] Non, pas de photos

[2] Pour couper court aux questions dans les commentaires, la suite est: "Non, pas le temps", dixit ma femme, snif ;-(

chaîne des sacs

le lundi c'est chaînes.

Aujourd'hui je débute une chaîne tout bête, toute simple, juste ce qu'il faut pour les vacances.

Quel est le poids de votre sac à main?

J'ai en effet été sidéré dernièrement, lors d'une séance soldes, lorsque ma charmante moitié m'a déclaré d'office "porteur volontaire" afin qu'elle puisse avoir les bras libres pour fouiller tranquillement dans les rayons.
Je me suis donc baladé dans les magasins avec un magnifique sac à main de dame de rouge, qui m'a bousillé l'épaule en quelques minutes seulement.

De retour à la maison, j'ai fait un petit tour sur la balance, histoire de satisfaire ma curiosité (je me faisais tellement chier à rester 1 mètre derrière ma douce et à dire oui ou non au hasard sans regarder ce qu'elle me montrait -enfin si j'ai regardé au début, mais je n'ai pas tenu le rythme de 3 fringues à la minute- qu'il fallait bien que je pense à quelque chose et bien je faisais des paris avec moi-même de quoi céderait en 1er, mon épaule ou les poignées).

Bref, un petit tour à la balance et résultat:




3,6 kilos (le poids d'un bon bébé quoi)

Allez mesdames , à vous, désolé de ne nommer personne pour suivre mais je ne sais plus qui est en vacances de qui ne l'est pas.

jeudi 26 juillet 2007

Campagne honnie

Je commençais un billet tout simple (une idée, 5 lignes) et une parenthèse digressive s'est muée en plusieurs phrases impossibles à arrêter: le phénomène d'autoécriture m'impressionne toujours autant.

Bref tant pis pour vous, voici un billet pas drôle d'auto-analyse (trop radin pour me payer un analyste, le blog est un bon substitut).


J'aime pas la campagne, la campagne c'est nul.
La campagne j'en ai assez bouffé quand j'étais ado pour avoir le droit de dire que c'est nul,
c'est tellement nul la campagne que je n'ai même pas souvenir d'y avoir été ado, mes premiers "bons" souvenirs commencent à 17 ans quand je suis parti à l'internat, putain la ville il n'y a que ça de vrai.

Attention, je ne parle pas de la campagne rurale type Guerre des boutons, avec plein de conneries à faire (ou à défaut des endroits où aller) et surtout une bande de copains,
je parle de la campagne trou-du-cul-du-monde: les maisons plus ou moins grandes, plus ou moins cloturées, plus ou moins jardinées, le boulanger à 3 km, pas un ami de ton âge à moins de 5 minutes de scooter et bien entendu... pas de scooter!!
Pour vous dire, même Kamini dans son Marly-Gomont, il a "adolescé" plus que moi.

Moi, mon truc fou de l'adolescence, ça a été de me taper les Rougon-Macquart en faisant la bronzette et en montant de temps en temps sur un escabeau cueillir des cerises: le vrai trip de folie ;-(


Ok j'exagère un peu, j'ai eu d'autres moments forts:

De l'action: une fois j'ai eu la mission de couper les thuyas avec le taille-haies
Du suspens: j'ai malencontreusement taillé/coupé le fil électrique du taille-haies précitée... et j'ai réussi à le réparer tout seul
Du tabou: La lecture (encore et toujours la lecture) d'un Mein Kampf déniché dans un recoin (je n'en ai pas de souvenirs autres que "nul", "mal écrit",..)



Bref le tout reste moyennement intéressant pour une biographie (qui a dit "et inintéressant pour un blog"?)

Voilà, c'était juste pour dire que du fait de ce manque de relation à l'adolescence, je suis devenu un solitaire associal (et que je n'aime pas la campagne).


mardi 24 juillet 2007

La question régime de l'été

En Bretagne l'eau est froide fraîche ce qui incite ma moitié à ne pas aller se baigner, faut dire aussi qu'elle achète des maillots-de-bronzage et pas des maillots-de-bain: dès qu'elle sort de la position allongée-sur-la-serviette elle se vêt en vitesse d'un paréo et d'un top, soit disant que son bikini est "trop échancré", pfff (non pas de photos)!.

Connaissant les rares mobiles qui peuvent forcer les femmes à se mouvoir (les soldes, les régimes, le fait hypothétique que peut-être leur enfant risquerait potentiellement de subir une expérience malencontreuse et éventuellement douloureuse) devinez la suite:

a) j'ai balancé un de nos enfants à la flotte (de préférence le petit de 10 kilos- je peux l'envoyer plus loin que celui de 20 kilos qui en plus est capable de de débattre)

b) j'ai balancé son sac à la flotte

c) j'ai émis l'hypothèse que, sous l'action du froid, le corps allait puiser dans les réserves de graisse pour produire de la chaleur




N'empêche que je me demande quand même si, sous l'action du froid, le corps ne va pas prévoir de faire des réserves de graisse, histoire d'être mieux isolé des contraintes extérieures.

(nan, parce que ce serait ballot si le corps faisait le contraire de ce que je déclare, à force ma femme risque de ne plus croire que je suis parfait)

jeudi 19 juillet 2007

1ère fois de la honte

[1]

En 6ème, le professeur de mathématiques faisait à chaque début de cours une petite interrogation sur le cours précédent (2-3 questions sur un quart de feuille) notée sur 5, donc 4 interrogations faisaient une note sur 20.
Il est arrivé une fois où je n'avais absolument pas ouvert mon cahier et, sans (trop) réfléchir, j'en conclus que la seule façon de faire est de tricher.
J'ouvre donc mon cahier et le pose sur mon sac (je me suis dit que j'avais une chance de faire l'innocent si le cahier n'était pas sur mes cuisses).
A un moment donné, le professeur commence à remonter, non pas l'allée centrale, mais bien le petit espace entre le mur et nos sacs: il arrive jusqu'à moi et me demande si je le prends pour un idiot.
Imaginez un petit 6ème tout bafouillant et tout rouge...bref c'était moi.
Il me dit qu'il va me mettre zéro plus une punition à signer par les parents puis repart vers le devant de la classe.
Je me sens soulagé en me rendant compte que l'incident est passé plutôt inaperçu, mes camarades se concentrant sur leur feuille.
Arrivé devant le tableau, le professeur se retourne et me reprend à parti, cette fois-ci donc avec toute la classe comme public, la honte totale quoi ;-(

Pour la suite de l'histoire, sachez que j'ai donc rendu copie blanche à ce devoir (j'allais avoir zéro, pourquoi répondre aux questions?),
que le professeur m'a ensuite réprimandé de cette copie blanche,
que j'ai particulièrement travaillé les 3 interrogations suivantes pour obtenir la moyenne sur 20
et que ma note finale est arrivée: 0/20 motif a triché lors d'une interrogation.

Je ne comprends toujours pas comment, suite à cette double-peine, je suis quand même parvenu à aimer les mathématiques
(peut-être par non-choix, j'étais trop nul dans les autres matières)!

Notes

[1] billet envoyé chez Le premier jour on verra s'il est publié

mardi 17 juillet 2007

Tour de magie

Un petit tour (presque) amusant, je vous parie que je suis capable de deviner ce que vous êtes en train de faire
(autre que me lire, bien entendu)

Voyez-vous, juste avant de partir en vacances, ma fille, assistée de sa maman, a décidé d'un commun accord avec ses camarades de classe d'avoir de quoi penser régulièrement les uns aux autres.

Intoxiquées par les adjonctions de la SPA sur les abandons, mes femmes ont recueilli des bestioles qui, je dois bien l'avouer malgré ma mauvaise foi chronique, sont plutôt faciles d'hébergement.
D'un naturel très sociable, prenant gîte et couvert directement sur la chevelure, mesdames et messieurs, je vous présente nos amis les poux.

Bref, quelques jours de régression vers nos cousins les singes à se regarder le crâne et à s'épouiller mutuellement (et franchement c'est moche un pou -je n'avais déjà pas aimé retirer des tiques de mon chat – mais le pou tu sens la méchanceté qui se dégage dans la façon dont il bouge pattes et antennes, saloperie va).

Ah oui, j'en étais à mon tour de magie:
Vous êtes actuellement en train de vous gratter la tête ;-)



lundi 16 juillet 2007

Paris-carnet-48 ter

Voici ensuite des extraits du fil des commentaires, commentés à leur tour.

De : Kozlika
Site : http://www.kozlika.org/kozeries/
Je te suggère de t'en tenir à parler des trentenaires parce qu'entre traiter une gamine de seize ans de salope (implicitement dans le billet et explicitement dans ton commentaire 14) et deux quadra de vieilles peaux éventuellement consommables si elles avaient eu dix ans de moins, comment dire... on hésite entre très maladroit ou juste très goujat. Note que les deux à la fois sont possibles hein, après tout un bonheur n'arrive jamais seul.

Rien à redire sur la forme, attaque parfaite: mes propres termes sont repris (avec des références) et prouve que le billet et (même!!) les commentaires ont été lus avec attention.
Le mépris palpable (et pourtant non ouvertement exprimé) est rehaussé par une touche d'ironie magistrale qui suggère grandement l'estocade si d'aventure je me risquais à une joute littéraire.
Bref, face à un service smatché impeccable suivi d'une montée au filet, je laisse filer la balle vu que je suis assuré de perdre le point (en plus en face, ce n'est pas un débutant, c'est tout de même la grande prêtresse Kozlika –par exemple le thême de mon blog est issu de son travail, c'est marqué en bas à droite Thème de base : Keepsake par Kozlika pour DotClear)

De : Pablo
Site : http://solitude.mabulle.com
J'adhère tout simplement aux propos de Kozlika, évitant ainsi de me montrer incorrect sur votre blog, ce qui serait peut-être impardonnable étant donné que je ne vous connais pas du tout ; vos propos sur la seule personne que je connais parmi celles que vous citez me paraissent fort inappropriés, je tiens tout de même à vous le signaler explicitement.

Alors là, vous avez l'inverse même du troll: le commentaire sensé, pondéré et bien écrit. Vous n'avez même pas envie de répondre tellement vous avez honte de vous. Je parlais d'estocade précédemment et bien c'est ce commentaire qui me l'a donné.

Voici donc le moment où j'ai déclaré forfait.

De : jid répond au courrier
Site : http://ordinairetrentaine.free.fr
Kozlika/Pablo> j'ai la flemme de m'expliquer à des personnes qui logiquement ne reviendront jamais sur ce blog, je vais donc prendre la goujaterie.

Avant d'abandonner le terrain, je suis allé serrer la main à mes vainqueurs:

De : jid répond au courrier
Kozlika/Pablo> ceci-dit, merci d'avoir commenté, cela permet de me dégonfler les chevilles

Serrage de main accepté (ouf!)

De : Pablo
Je vous en prie

Ne se satisfaisant pas (à juste titre) de cette victoire par (lâche) abandon, Kozlika insiste sur le fait que mon billet est préjudiciable à certaines personnes. De plus Pablo souhaiterait une réponse plus construite.


De : Kozlika
Bonjour Jid. Si si je suis, bien sûr. Je ne me permets pas de m'adresser à quelqu'un, surtout sur un ton vindicatif, sans écouter sa réponse.

Quelle est-elle ? Que tu as écrit ce compte-rendu rond comme une patate ? Ça ne m'avait pas échappé, je ne vois pas très bien ce que ça change ; l'alcool désinhibe il ne fait pas raconter le contraire de ce qu'on pense. Tu ne l'aurais pas dit comme ça, voilà tout, ou tu te serais contenté de le penser très fort (ce qui certes eût été préférable).

Je n'ai pas l'intention de revenir sur cette histoire ad vitam. Je ne la trouve pas très intéressante. Ce message est donc ma conclusion sur ce sujet.

Il se trouve que je suis la mère de la jeune fille dont tu parles et que j'ai l'âge des deux blogueuses « d'âge respectable », c'est te dire si je me sens concernée. Tu as publié le lien vers ton compte rendu sur le wiki de Paris-Carnet, ce qui bien évidemment allait conduire l'une et les autres à te lire. Je sais qu'au moins deux d'entre elles en ont été réellement blessées.

Si tu as eu seize ans un jour, il t'est peut-être arrivé de ne pas bien maîtriser quelle image tu véhiculais, on appelle ça l'adolescence. Etre confronté à un jugement aussi négatif et brutal en cette période de fragilité extrême c'est extrêmement dur. Quand (et non pas si, je te le souhaites) tu auras quarante ans un jour, tu apprendras aussi qu'entendre, même en plaisanterie, qu'on serait passés du côté du has-baisable (quoique pour un homme la date de péremption n'est pas si formelle) est pour le moins horripilant.

Bref. Je maintiens et la goujaterie et la maladresse (alcoolisées, soit), la seconde n'excusant à mes yeux en rien la première. Et puisque les chemins des liens du wiki mènent jusqu'ici je tenais à ce que ce son de cloche soit aussi lu/entendu en contrepoint.

Voilà qui est fait.

De : Pablo
Je suis toujours aussi, évidemment. Je me dois d'ajouter, d'abord, que je n'ai jamais compris pourquoi l'alcool est généralement une circonstance atténuante au lieu d'aggravante. Et puis, je suis très curieux de lire votre réponse au dernier commentaire de Kozlika, me demandant pourquoi il est toujours plus difficile de demander des excuses (pas à moi, évidemment, parce que bien que ce soit une amie qui est concernée, je ne le suis nullement) que de donner des justifications.


Bonjour Jid. Si si je suis, bien sûr. Je ne me permets pas de m'adresser à quelqu'un, surtout sur un ton vindicatif, sans écouter sa réponse. Je n'ai pas l'intention de revenir sur cette histoire ad vitam. Je ne la trouve pas très intéressante. Ce message est donc ma conclusion sur ce sujet

Encore une fois, désolé d'avoir tardé dans les réponses, mais pour moi non plus, au départ il n'y avait pas grand intérêt.

Que tu as écrit ce compte-rendu rond comme une patate?...l'alcool désinhibe il ne fait pas raconter le contraire de ce qu'on pense...
Bref. Je maintiens et la goujaterie et la maladresse (alcoolisées, soit), la seconde n'excusant à mes yeux en rien la première.
Je me dois d'ajouter, d'abord, que je n'ai jamais compris pourquoi l'alcool est généralement une circonstance atténuante au lieu d'aggravante.

En général, l'alcool est surtout une circonstance explicative: elle est atténuante car elle permet de mieux comprendre la personne fautive (de la connaissance vient la compassion) et elle est aggravante car sans l'alcool la faute n'aurait pas été commise (ou alors pas aussi grave)
Sinon dans ce billet précis l'alcool n'est qu'un artifice littéraire (si on peut qualifier de littéraire mon carnetweb): même si je ne suis pas un alcoolique chronique, j'ai assez d'endurance pour que 2 litres de bière bus entre 19h30 et 23h00 ne m'otent aucune inhibition à 01h00 du mat (sans compter le quart d'heure à pied sous la pluie)

Bref j'ôte l'alcool de l'équation et je ne garde que la fatigue et la rapidité d'écriture de ce billet.

Il se trouve que je suis la mère de la jeune fille dont tu parles
Comment sais-tu de quelle jeune fille je parle?
Cela voudrait non seulement dire que c'était la seule jeune fille avec soutif-apparent mais qu'en plus toi aussi tu aies remarqué cet état de fait (personnellement cela m'a choqué, et toi aussi alors? Ou bien c'est le fait que je sois choqué qui te choque?)

et que j'ai l'âge des deux blogueuses « d'âge respectable », c'est te dire si je me sens concernée. Tu as publié le lien vers ton compte rendu sur le wiki de Paris-Carnet, ce qui bien évidemment allait conduire l'une et les autres à te lire. Je sais qu'au moins deux d'entre elles en ont été réellement blessées.
Là je suis réellement interloqué, "deux d'entre elles"? cela voudrait dire la jeune fille et 1 des 2 dames?
J'ai effectivement parlé des 2 dames dans une phrase mal écrite sujette à caution, j'ai du mal à comprendre en quoi la jeune fille pourrait être blessée.

Si tu as eu seize ans un jour, il t'est peut-être arrivé de ne pas bien maîtriser quelle image tu véhiculais, on appelle ça l'adolescence. Etre confronté à un jugement aussi négatif et brutal en cette période de fragilité extrême c'est extrêmement dur.
En tout cas, si jamais j'ai blessé ta fille, j'en suis sincérèment désolé.

Quand (et non pas si, je te le souhaites) tu auras quarante ans un jour, tu apprendras aussi qu'entendre, même en plaisanterie, qu'on serait passés du côté du has-baisable (quoique pour un homme la date de péremption n'est pas si formelle) est pour le moins horripilant.
Ce n'était pas mon propos, plutôt le contraire: c'est ce qui est facheux avec les mal-compréhensions, c'est souvent pris du pire côté.
J'en profite pour préciser que ma femme est plus agée que moi, et plus proche de la quarantaine que moi de la trentaine.

Et puisque les chemins des liens du wiki mènent jusqu'ici je tenais à ce que ce son de cloche soit aussi lu/entendu en contrepoint. Voilà qui est fait.
Pas de problème.

me demandant pourquoi il est toujours plus difficile de demander des excuses ...que de donner des justifications
si excuses il doit y avoir, elles ne seront pas écrites mais verbales avec les intéressées (si elles ne me cassent pas la tête avant que je puisse ouvrir la bouche)

Paris-carnet-48-bis

Je ne pense pas que beaucoup d'entre vous l'aient vu mais suite à mon billet sur le Paris-Carnet 48, j'ai reçu des commentaires pertinents dont je voudrais développer la réponse en (longs) billets.

Vu que Kozlika et Pablo ont pris le temps de commenter et de revenir (en vain jusqu'à maintenant, désolé j'ai peu accès ces temps-ci à mon ordinateur, et encore moins à mon blog), j'ai voulu répondre convenablement, soit en billet plutôt qu'en commentaire.

Je pense faire une réponse en 2 parties: déjà faire une explication de texte de mon billet, ensuite répondre point par point à leurs commentaires.

Je vous préviens de suite cela ne va pas être clair: je suis en train d'essayer de migrer mon site avec 2 litres de bière dans le foie et en même temps de faire le compte-rendu de Paris Carnet 48ème.

Préambule où l'auteur précise qu'il a pris l'écriture de ce billet par dessus la jambe: ce n'est pas une tentative d'excuse ou de justification (puique l'auteur ne sait pas encore ce qu'il va écrire), c'est un fait.

Arrivée tranquille vers les 19h40, je vais direct au bar pour commander sans dire bonjour à personne (une dizaine de personnes en terrasse ont une tête de carnetistes) un petit sourire tout de même à quelqu'un qui ressemble à Goon.

Introduction du sujet: présentation du Paris-Carnet.

De retour avec ma bière, effectivement c'est bien Goon, il montre son gros appareil (photo).

Tentative pathétique d'humour beauf ou humour pathétique d'un beauf?

Je m'installe, je ne comprends rien des pseudos de mes voisins, pas grave ils sont sympathiques. Pas loin, il y a Fauvette, je suis ravi de mettre un visage sur ce charmant pseudo et blog. Un coup de pluie, on se bouge pour s'installer à l'intérieur, ça papote toujours autant c'est agréable.

Clairement l'auteur est un lâche ou du moins un lèche-cul, il n'écrit que des gentillesses.

Il y a même une demoiselle, décoletté et soutif apparent, que de mon temps on aurait qualifié d'indécent mais qui maintenant est seulement "agréable à regarder" qui s'installe à côté de nous (en passant, je me prends un coup de vieux, c'est joli à regarder certes, mais cela ne me fait rien du tout, snifff)

Ah ah, en plus de sa veulerie, l'auteur est un voyeur
Malgré sa veulerie, l'auteur écrit à demi-mot qu'il est choqué de la mode d'aujourd'hui.

Allez, je change d'air: je m'incruste auprès de Ron et Chondre. Alors ces 2 là qui se disent bloguent monogames, je n'en crois pas un mot: je me suis retrouvé dans le sketch les "Salopes" des Inconnus: à chaque paire de fesses(masculines) qui passent, les commentaires fusent (et je me refuse de les transcrire). Saoulés d'être avec un hétéro, ils me laissent tomber pour soit-disant aller bouffer un kebab, ben voyons ;-) Je prends une 3ème bière et je trouve une autre conversation: résultat du bac, c'était mieux avant, service militaire... Je joue le rôle du vieux con à merveille (un peut trop à mon goût d'ailleurs).

On retrouve la nostalgie de l'auteur pour ses jeunes années (en même temps qu'une faute d'orthographe à "peu" qui hérisse les gencives, grrrr...)

Une adorable conversation privée et intime avec Luciole dont vous serez privés, bandes de pervers voyeur.

Toujours cette propension à la lèche
En passant, la conversation a tourné un moment sur un commentaire totalement irréfléchi et idiot que j'avais fait sur le blog de Luciole il y a bien 18 mois -comme quoi quand on est goujat, malheureusement on le traîne à vie ;-(

Je me la pète je suis un vieux routard des blogs face au blog-puceau Richard Ying, qui en profite pour me bluffer avec son Mac Power-Book sublime (franchement, moi qui ne connait rien aux portables c'est classe).

Tiens, l'auteur aurait-il un ego (médioce peut-être mais un ego tout de même)?

Pour finir en beauté, je converse avec Melodye et Traou.

Mais ce n'est pas possible d'être un lêche-cul pareil: je récapitule "sympathiques; ravi; charmant; agréable; adorable; bluffer; sublime; classe; beauté " on se croirait chez les bisounours.

Alors ce sont 2 dames d'un âge respectable

L'auteur ne posséde pas de dictionnaire de synonymes, cherche rapidement une expression contraire à demoiselle
Bon ben il y a dame mais dames tout court cela fait un peu léger, allez hop on va mettre âge respectable et en plus dans respectable il y a respect, merde ça ira bien j'ai envie d'aller me coucher (mouais, ben en fait ça n'a pas du tout été ;-(

que l'âge il serait un tout petit peu moins respectable, je penserais à moi en terme non pas en homme marié, mais en futur célibataire

Là l'auteur cafouille grave avec une phase, qui bien que syntaxiquement correcte, est assez sommaire du point de vue compréhensibilité:
On se souvient dans les phrase précédentes que l'auteur est nostalgique, il se transpose alors en arrière oubliant dans sa phase de s'inclure lui aussi dans le retour temporel (le con: il a créé un blougou à sens giratoire inversé et s'en ait donc pris plein la gueule, ouille bobo )


Moralité: Comme le répète les profs ad nauseam, ne baclez pas vos conclusions, c'est là-dessus que l'on quitte votre copie.


2ème moralité: Un blog est public, réfléchissez-y à 2 fois avant d'y mettre des choses sur des gens connus.


vendredi 13 juillet 2007

Oups...grillés

C'est l'histoire d'un téléphone esseulé.

Ramené à Jidette par des collègues, celle-ci entreprend naturellement de chercher à qui il appartient.

Dans les messages un titre évocateur et répété maintes fois:
ma chérie Pimprenelle

Ah ben, il est à Pimprenelle comprend donc la Jidette,
allez hop direction Pimprenelle.

Et Pimprenelle, toute joyeuse en voyant le portable:
oh formidable, tu as retrouvé le portable de Nicolas (le collègue du bureau d'à côté).

Oups... grillés ;-)

mardi 10 juillet 2007

MamanJid

Je ne sais plus si je l'ai déjà écrite cette anecdote là (pas d'après Google en tout cas), si oui tant pis pour mes anciens lecteurs.

Souvenir, souvenir.
Il y a bien 6 ou 7 ans déjà
Dimanche pourri et pluvieux (je viens de regarder par la fenêtre, d'où mon inspiration pour ce billet)
Au téléphone avec ma maman (ce qui n'arrange pas le dimanche)

Jid

  • Temps vraiment pourri

MamanJid

  • Vous n'avez rien de prévu aujourd'hui?

Jid

  • Pas envie de sortir, tout le ménage est fait et même le cable ne fonctionne plus à cause de l'orage

MamanJid

  • Bon ben, y'a plus qu'à se sauter alors.

Jid

  • ...


lundi 9 juillet 2007

dicton du jour: en Bretagne, il ne pleut...

De retour d'un petit week-end à Saint-Malo (oui, je sais, pour les puristes Saint-Malo ne fait pas vraiment parti de la Bretagne), je vous livre un petit dicton bien de là-bas, qui me réconforte dans ma non-infériorité intellectuelle (à défaut de mon infériorité en mélanine).

En effet, j'ai ramené comme souvenir un coup de soleil tout à rose, calorique et désagréable
mais bon je garde le moral puisque:

En Bretagne, il ne pleut que sur les cons.

jeudi 5 juillet 2007

Tripoti tripota

Après avoir brillamment démontré que face à une couche tous les bébés se ressemblent
(démonstration empirique: tous les commentaires ont validé le poulpisme des poupons)

je me propose de vous présenter la fameuse exception qui confirme la règle.

Depuis quelques temps, le mien gamin
(j'ai le droit d'utiliser le possessif au singulier vu que ma femme me dit "change donc TON gamin", "lève-toi, TON gamin pleure", oh qu'il est beau MONfils)
le mien gamin, donc, a arrêté le poulpisme et s'est lancé dans le bloquisme.

Bloquisme: action de bloquer toute tentative de mettre une nouvelle couche.

En effet, dès que la couche est enlevée, il projette les doigts sur son (petit) oiseau et commence une session de Tirelipinpon sur le chihuahua qui n'en finit pas.

En passant il y a intérêt à être super rapide dans le maniement de la lingette: si la couche est garnie, il fiche les doigts direct dans la garniture.

Impossible donc de lui fixer une nouvelle couche:

  • On ne va pas fermer la couche avec les doigts à l'intérieur
  • Il se met à hurler si on lui enlève son jouet (plus exactement si on lui enlève les mains de son jouet)
  • Et en plus, en quelques secondes monsieur se la joue Tour de Pise,
    tour dont il faut bien attendre la redescente (un zigouigoui de garçon cela se met tête en bas dans la couche)

paris-carnet

Je vous préviens de suite cela ne va pas être clair: je suis en train d'essayer de migrer mon site avec 2 litres de bière dans le foie et en même temps de faire le compte-rendu de Paris Carnet 48ème.

Arrivée tranquille vers les 19h40, je vais direct au bar pour commander sans dire bonjour à personne (une dizaine de personnes en terrasse ont une tête de carnetistes) un petit sourire tout de même à quelqu'un qui ressemble à Goon.

De retour avec ma bière, effectivement c'est bien Goon, il montre son gros appareil (photo).
Je m'installe, je ne comprends rien des pseudos de mes voisins, pas grave ils sont sympathiques.
Pas loin, il y a Fauvette, je suis ravi de mettre un visage sur ce charmant pseudo et blog.

Un coup de pluie, on se bouge pour s'installer à l'intérieur, ça papote toujours autant c'est agréable.
Il y a même une demoiselle, décoletté et soutif apparent, que de mon temps on aurait qualifié d'indécent mais qui maintenant est seulement "agréable à regarder" qui s'installe à côté de nous (en passant, je me prends un coup de vieux, c'est joli à regarder certes, mais cela ne me fait rien du tout, snifff)

Allez, je change d'air: je m'incruste auprès de Ron et Chondre.
Alors ces 2 là qui se disent bloguent monogames, je n'en crois pas un mot: je me suis retrouvé dans le sketch les "Salopes" des Inconnus: à chaque paire de fesses(masculines) qui passent, les commentaires fusent (et je me refuse de les transcrire).

Saoulés d'être avec un hétéro, ils me laissent tomber pour soit-disant aller bouffer un kebab, ben voyons ;-)

Je prends une 3ème bière et je trouve une autre conversation: résultat du bac, c'était mieux avant, service militaire...
Je joue le rôle du vieux con à merveille (un peu trop à mon goût d'ailleurs).

Une adorable conversation privée et intime avec Luciole dont vous serez privés, bandes de pervers voyeur.

Je me la pète je suis un vieux routard des blogs face au blog-puceau Richard Ying,
qui en profite pour me bluffer avec son Mac Power-Book sublime (franchement, moi qui ne connait rien aux portables c'est classe).

Pour finir en beauté, je converse avec Melodye et (Anonyme1).
Alors ce sont 2 dames d'un âge respectable, que l'âge il serait un tout petit peu moins respectable, je penserais à moi en terme non pas en homme marié, mais en futur célibataire (modification suite aux problèmes syntaxiques et de compréhension) que j'aimerais bien revenir quelques années plus tôt et être célibataire.


2 suites rajoutées ici et ici

mardi 3 juillet 2007

argggggg

Je bosse tranquille ma matinée, vers les 13h00, je me dis "et si j'allais pondre un petit billet pour me changer les idées".

Pouf, j'ouvre IE, favoris,... et pafffffffffffffffffff!





Ce site n'est actuellement pas référencé parmi les accès disponibles à partir de votre poste de travail.
Toutefois, si vous avez besoin de vous connecter à ce site pour des raisons professionnelles, vous pouvez effectuer une demande d'accès.....






Fais chier, faut que je pense à migrer vers un autre site maintenant, en espérant qu'il ne me retrouve pas trop vite...

Sinon personne ne connait des employés de sociétés de sous-traitance de blacklistage, juste une ligne à enlever d'une liste, ça doit être possible, non?

lundi 2 juillet 2007

(J'en)chaine mon oeil...

Le lundi, c'est Chaînes.

Allez hop, une chaîne facile à faire refilée par Petitoutmimi.

Il s'agit simplement de faire une photo de son oeil (plus facile à dire qu'à faire: j'en ai fait 10 floues avant d'en avoir une nette!!)
Vous remarquerez bien entendu la magnifique couleur verte (yeux de vipère) avec un peu de marron dedans (yeux de cochons)

Et surtout, la lentille.
Les lentilles, c'est mon luxe à moi: le plaisir de ne plus porter de lunettes (le côté pratique), cela n'a pas de prix (enfin si: 1 euros par jour).



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