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Trentaine ordinaire

Petit journal extime d'un trentenaire ordinaire        

dimanche 29 août 2010

Vie de meuf

Elevé par une mère divorcée, marié à une despote:
le féminisme pour moi c'était un peu dépassé, un truc de mal-baisées…

Merci au site Vie de meuf de faire comprendre le sexisme ordinaire, loin des colonnes à la une des "femmes battues" ou autre ''femmes voilées".



D'ailleurs un "Vie de gros" ou un "Vie d'homo" ne serait pas de trop non plus.

Quoiqu'il faudrait mieux un "Vie de hors-norme" dans lequel on puisse tout mettre, du roux, du magréhbin, de l'antillais[1], du gros, du maigre,...



Notes

[1] dernièrement à une soirée, un ami antillais a dû nous avouer preuve à l'appui qu'il ne savait pas zouker, dur pour lui!!

mardi 11 décembre 2007

Interruption momentanée des programmes

Pour ceux qui suivent, je vais subir une opération de l'épaule en fin de semaine
Suivie d'un arrêt maladie d'un mois.

C'est donc la course pour former quelqu'un sur mon poste le temps de l'intérim, finir le maximum de trucs…

Bref je suis débordé de partout, je vous souhaite de bonnes fêtes même si j'espère bien pouvoir clavioter le plus vite possible.

Allez donc voir chez Sonia si j'y suis, c'est la petite nouvelle dans ma blogroll qui me fait rire.

lundi 18 juin 2007

Vrac

Bon, normalement le lundi c'est Chaînes.

Même que j'en ai reçu une de chaînes, de Madame Patate (je vous conseille son blog, il y a du rythme): la chaîne des 7..

"Chaque personne "taguée" révèle 7 choses à propos d'elle même, et recopie au passage ce règlement. Elle doit ensuite taguer 7 autres personnes et les mettre en lien sur son blog. Puis au cas où ils ne le verraient pas, elle doit aller les prévenir sur leur propre blog."

1- Les chaînes c'est bien, en abuser ça craint
2- Les chaînes c'est bien, en abuser ça craint
3- Les chaînes c'est bien, en abuser ça craint
4- Les chaînes c'est bien, en abuser ça craint
5- Les chaînes c'est bien, en abuser ça craint
6- Les chaînes c'est bien, en abuser ça craint
7- Les chaînes c'est bien, en abuser ça craint

De plus cette chaîne n'est pas assez directive donc je ne prends pas. (Oui, c'est surtout de la mauvaise volonté, et du manque de temps)





Sinon cela fait longtemps que je n'ai pas cité un autre blog, j'aime bien aussi Blogantipub

Blogantipub dissèque parfaitement cyniquement une publicité qui ne m'avait pas plu.

vendredi 16 mars 2007

Cela faisait longtemps que l'on n'avait pas parlé de Q sur ce blog

Je rebondis sur le billet de Cordelia qui nous parle de la possible relation entre les femmes et les films de Noël sans sapins et sans guirlandes (les films de boules, quoi!!!).

J'avoue que j'ai été choqué à la lecture de son billet, et ce même si j'acquiesce à plusieurs de ces affirmations (par exemple à force, rien qu'à la musique on peut différencier une merde un Dorcel d'un truc regardable).

Je sais que parmi mes commentatrices, il y en a plusieurs qui sont farouchement opposées à ce style de films.
Personellement je trouve que rejeter toute cette cul-ture sous différents prétextes (c'est dégradant pour la femme, c'est dégradant pour l'Amour, c'est de la boucherie, j'en ai déjà vu un et je n'ai pas apprécié,...)
c'est comme dire ne pas aimer le vin de sa vie car on n'a pas apprécié le verre de villageoise que l'on a chopé sur la table familiale à 12 ans.

Toujours est-il que je reviens sur ce qui m'a choqué dans le billet de Cordelia:

Comment peut-on regarder un tel film en ENTIER?

lundi 8 janvier 2007

Le coucher gigogne de la Bergère

Un très gentil billet chez la Jeune Bergère sur son coucher.

mardi 26 septembre 2006

Ok Go- Here it Goes Again

Trouvé sur le Blog TV News: cette vidéo dont je trouve le visuel formidable (le son c'est autre chose)

Les quatre rockeurs américains d'OK Go ont tissé leur succès à coups de vidéos visitées par millions sur le Net.
Leur nouveau clip Here it Goes Again, une chorégraphie décoiffante sur huit tapis de course, est en train d'exploser les charts de YouTube, site de vidéos communautaire, où il caracole en tête des clips les plus vus de tous les temps (plus de six millions de fois).


jeudi 3 août 2006

Fête italienne : chroniques d'une soirée annoncée

[1]

La trentaine passée, avec des gamins-boulets aux pieds, les occasions de s'amuser sont rares.

Heureusement il reste les grandes réunions (en majorité de famille), notamment les mariages (parce que finalement dans les enterrements, l'ambiance est plutôt froide -même en ces temps de canicule- sauf s'il s'agit du grand-oncle à héritage).

J'entendais profiter du mariage de mon grand-frère avec une italienne: direction Como pour la cérémonie et la fête associée.

Je passe sur les dix heures de voiture et l'arnaque du parking de l'hôtel (qui est en fait un parking public payant - réduction à 35 euros par jour au lieu de 45 euros).
Je me force à me coucher tôt le vendredi soir pour m'assurer de tenir debout (et de préférence en rythme) toute la nuit de samedi à dimanche.

Samedi après-midi : cérémonie religieuse impressionnante en 3 langues (italien, français et anglais-la langue commune des mariés) mais bon l'important c'est quand même la bouffe après.
Samedi soir : apéritif sublime, dîner à se taper le cul par terre (je soupire encore rien qu'à penser au rizotto qui nous a été servi).

Quelques personnes sont déjà sur la piste de danse dès 21h00, personnellement j'ai peur de quitter la table: je ne veux pas prendre le risque de rater un plat.

Petite pause entre les fromages et le dessert: je me risque à shaker mon body, histoire de dissiper la torpeur alcoolique qui commence à me gagner, et accessoirement de faire plaisir à ma femme en gigotant à côté d'elle.
J'en profite pour lui faire une petite remarque empreinte de jalousie (comme d'habitude cela fonctionne, comme d'habitude cela m'énerve que cela fonctionne : j'apprécie peu la convention amoureuse -"si tu n'es pas jaloux, c'est que tu ne m'aimes pas"- et la confiance, cela n'existe pas alors?)

La pièce montée et l'heure de minuit se chevauchent, apportant avec elles un répit apprécié de mes petites jambes de sportif "merde j'ai 100 mètres à courir pour avoir mon RER".
Après les photographies gnan-gnan des mariés en train de couper le gâteau à quatre mains et des mariées les bras emmêlés s'approchant les coupes des lèvres, le volume sonore de la musique remonte et je me prépare à danser jusqu'à l'apparition de crampes au mollet.

A travers les brumes éthyliques, mes neurones détectent plusieurs faits bizarres: abasourdi, je dois me rendre à l'évidence, entre les accords étranges et langoureux, la lumière plutôt vive et le ballet des serveurs-débarasseurs, à minuit trente nous sommes en plein quart d'heure américain, signe que la soirée est bientôt finie.

L'instant de stupeur passé (après tout, il est concevable que les salles de réception aient des horaires à respecter), une organisation brouillonne se met en place: Qui est capable de conduire? Qui rentre à son hôtel? Qui vient continuer la fête jusqu'au bout de la nuit dans les bars qui ne vont pas manquer dans cette ville touristique en ce mois de juillet?

Une vingtaine d'irréductibles se retrouvent arpentant les rues, tendant l'oreille pour discerner en vain des traces d'échos de bruit qui pourraient indiquer que quelque part peut-être il y a quelque chose d'ouvert (de préférence avec de l'alcool et/ou de la musique), pour finalement s'échouer lamentablement sur les bancs d'une place déserte.

Ah les nuits en Italie sont belles mais bon dieu qu'elles sont longues: moi qui croyais que les méditerranéens étaient des noctambules, j'en ai été fort marri.

Notes

[1] Ce billet a été publié la 1ère fois chez Ron l'infirmier dans le cadre de ces billets sur l'Italie.

Amateurisme

[1]

Dernier mois de lycée, nos regards se croisent et les sourires se répondent.
Quelques balades plus tard et nous voilà main dans la main, bouche contre bouche, langue contre langue (oui, je sais maintenant ça fait dégueulasse mais quand on est jeune, on trouve cela génial).
Après être allés assez loin (en pleine nature) dans la découverte physique de l'autre, nous nous dégotons une journée entière avec un appart pour nous seuls.

Mes premiers bas DIM, mon premier bisou-minou, mon premier lit : souvenirs impérissables!

Je suis tellement concentré (et stressé) que je ne ressens pas spécialement de plaisir physique (quand les muscles et les corps caverneux finissent par prendre la pause, je peux d'ailleurs constater que le préservatif est vide).

Nous alternons ensuite parlottes et câlins avant de reprendre nos attouchements : mon vit reprend vite vie mais là...

point de préservatif.

Bah oui, j'étais tout minot dans les jeux de l'amour et je ne savais pas qu'on pouvait avoir besoin de plusieurs préservatifs sur une séance : boulette d'amateur.

Notes

[1] Ce billet a été publié la 1ère fois chez Snivel-Âges Sombres dans le cadre de ces billets Allocutions allochtones à caractère seksuel.

jeudi 1 juin 2006

Le Bar Nabé

Et bé, je bosse une semaine sans avoir le temps de lire mon aggrégateur et des billets magnifiques y stagnent.

Le Bar Nabé a commis 2 fois et il faut aller le lire :
l'homme du web (week-end beauf)
la boudine du trentenaire

Et si on appliquait les DRM à un autre secteur d'activité ?

Magnifique texte caricatural (mais pas tant que cela) sur les DRM trouvé chez Guangzhou Laowai. (qui lui même l'a plagié quelque part, mais que voulez les asiatiques, mêmes d'adoption, sont des plagieurs ;-)

vendredi 19 mai 2006

Bogons

Charles Stross Le bureau des atrocités

Le titre du bouquin n'est pas génial, on dirait un livre gore alors qu'il n'en est (presque) rien:
une agence gouvernementale est chargée de surveiller les ordinateurs (et surtout les utilisateurs) car les calculs de probabilités de haut niveau ont tendance à altérer les tissus de la réalité – avec invocation et/ou possession de créatures pas spécialement aimantes du genre humain, à part celles qui ont faim.

Ça se lit bien (sans plus).
Mais il y a une citation qui m'a beaucoup plu :

Bogons : Particules d'incompétence hypothétiques.
Les idiots émettents des bogons, ce qui entraînent un dysfonctionnement des machines en leur présence.
Les administrateurs système absorbent les bogons , et les bécanes remarchent.


Franchement j'y crois : rien qu'en comptant le nombre de fois où j'ai entendu "ça marche pas" , qu'il a suffit de se pencher sur l'écran, de dire "montre moi comment tu t'y prend" puis d'entendre "ah, ben là ça marche"!!



jeudi 23 février 2006

Effets spéciaux

deux billets à suivre dans ma blogroll aujourd'hui :

- effets spéciaux sur les photos chez Arthur Caranta : les fameux avant-après qui montrent que les publicités sont complètement refaites.

- effets spéciaux sur une vidéo chez Chroniques de la connerie ordinaire  : le drapeau américain sur l'eau qui déferle et les petits anges hummm, à voir!!! (j'ai pas mis le son, mais ça doit être impressionnant aussi)

vendredi 25 novembre 2005

Beautée réelle

C'est avec plaisir que je vous livre cette url de Glenn Feron - The Art of Retouching.

Ce sont des photos magnifiques de femmes magnifiques mais associées à la photo originale avant retouche.

Et là c'est un plaisir de comparer : oh, là le ventre ressortait un peu, là on lui a augmenté les seins,...

Un petit bonheur pour l'égo féminin .

(Pompé chez Petittoutmimi)

[ajout] et raté chez La lène-Jeux de maux

mercredi 28 septembre 2005

Mots de Gazelles

[1]

Un petit coup de coeur pour le livre "Mots de Gazelles" de Myriama (10 euros).

Extrait choisi :
Un jour j'ai dit à mon père : "il faut que je te parle de quelque chose" ; il m'a dit : "ça y est, tu veux te marier ?". Ça a été ma première et dernière tentative de parler politique avec lui !

Notes

[1] Ce billet a été initialement publié sur mon ancien blog

mardi 20 septembre 2005

Martin Winckler

[1]

Dans ma (longue, bien longue) blogroll, j'ai au moins un site sérieux : celui de Martin Winckler.

Encore une fois, j'ai été touché par son édito de ce lundi même si bien évidemment il ne me concerne pas directement.

Mais surtout, je vous recommande le billet suivant :
les règles en avoir ou pas?

Notes

[1] Ce billet a été initialement publié sur mon ancien blog