jeudi 21 décembre 2006
Faux-espoir
Bébé malade, mardi ORL: privé de crêche pour le reste de la semaine.
Téléphone à la grand-mère la plus proche (150 km), on s'excuse de la gêne occasionnée mais bon serait-il possible que peut-être il y aurait l'amorce d'une probabilité d'avoir du renfort à la maison, histoire d'aller se montrer au boulot avant les vacances (et accessoirement avant que les chefs réfléchissent aux évaluations de l'année).
Déjà, on se fait engueuler de ne pas avoir appelé plus tôt, qu'ils seraient venus dès dimanche s'ils avaient su.
Les grands-parents sont là, je peux commencer à penser à souffler:
2 gamins, une mère et une grand-mère, le compte est bon,
moi, je n'ai qu'à m'occuper du pépé et vérifier le niveau de la bouteille de pastis (qu'il n'en descende pas plus que moi).
Grossière erreur, le compte est loin d'être bon:
la mère et la grand-mère ne s'occupe que du plus jeune "le pauvre, il est malade"
Tu parles, alors qu'il sait marcher, le gamin passe de bras en bras, ses petites jambes gigotant désespérement bien au-dessus du sol qu'il voudrait fouler!!
En fait, les dames, voyant le bébé grandir, se dépêche d'en profiter un maximum avant qu'il ne leur échappe
me laissant la tâche de m'occuper seul de l'aînée.
Moi, je vous le dit tout net: la conscience professionnelle domestique des mamans s'émousse de plus en plus.
Ce billet, écrit à 22:45 par Jid dans la catégorie Famille a suscité :
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