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Trentaine ordinaire

Petit journal extime d'un trentenaire ordinaire        

vendredi 27 novembre 2009

Chronique d'une copulation manquée, le retour

La chronologie des événements semblait harmonieuse pourtant!

- une remontrance d'un petit chef qui donnait à ma femme le besoin de décompresser
- un artisan venu prendre des mesures histoire d'améliorer l'habitat
- les enfants pas chiants du tout ce soir, ni pour manger [1], ni pour dormir[2]
- le salaire qui tombe, doublé du 13ème mois[3]
- ma femme qui boit un peu de vin[4]
- petit slow sensuel dans la cuisine[5]

Et là…

Ma femme qui me susurre:

Humm, j'ai fantasmé tout à l'heure quand j'avais 2 beaux mecs dans mon champ de vision[6]

Le mâle étant par nature orgueilleux, susceptible et jaloux,
je me suis vexé et me suis installé devant la télévision!





Mais non je déconne!!!!

Le mâle étant libidineux par dessus tout,
je l'ai prise debout contre le plan de travail[7], les culottes autour des chevilles...[8]



Notes

[1] Faut dire que cela passe bien les menus pizza/ravioli

[2] Là je n'ai pas compris pourquoi

[3] cela fait misogyne mais si, c'est un événement érotique

[4] oui je sais, ma femme doit boire pour coucher avec moi! M'en fiche, elle boit régulièrement

[5] pièce la plus éloignée des chambres des enfants

[6] rappel: se souvenir de l'artisan dans la chronologie

[7] pour commencer

[8] Oui, le titre était volontairement faux pour mieux chuter le lecteur

mardi 24 novembre 2009

Le retour du retour du retour de la petite maison

J'ai fait une erreur…
Plus qu'une erreur: une Connerie.

Leurré par mon instinct de gentil mari, sans réfléchir aux conséquences,
j'ai acheté en DVD plusieurs saisons de "La petite maison dans la prairie".

Et ce qui devait arriver arriva: dès le premier visionnage, ma fille (7 ans) est devenue accro.

Heureusement qu'il n'y a pas assez de temps en semaine,
mais le week-end, la mère et la fille passent des instants "mère-fille" en se scotchant devant l'Histoire de la famille Ingalls.

Pitié, sortez-moi de là, c'est l'horreur.

Et en plus, la saison froide arrive, je ne peux même pas prendre prétexte de sortir le cadet.


jeudi 19 novembre 2009

La parité c'est bien, en abuser ça craint

Anecdote de classe primaire:
Les billes sont actuellement à la mode dans la cour de récréation de l'école primaire de ma fille.

Quand elle m'en a fait part, je lui ai acheté quelques sacs de billes[1] tout en lui demandant de faire attention avec qui elle jouait, histoire de ne pas tout se faire rafler.

Oh ça risque pas, qu'elle me répond:

Les garçons quand ils gagnent contre une fille, ils rendent la bille à la fille.
Mais si la fille gagne, elle garde la bille du garçon!!!




A 7 ans déjà, les règles des jeux sont biaisées afin que la fille ait un rapport "gagnant-nul" tandis que le garçon se limite à un rapport "gagnant-perdant" (Je mets de côté l'aspect où le garçon y gagnerait à côtoyer la fille.)

C'est à dire peu ou prou le même système que l'on retrouve plusieurs années plus tard dans la drague:
le garçon doit puiser dans son courage afin d'inviter la fille (qui choisit de lui balancer un râteau ou non)
puis dans son porte-monnaie (restauration, cinéma,…).
Et le tout sans assurance aucune d'avoir un retour sur son investissement (moral, temporel et financier).

Pff, pauvres mâles de nous: élevés pour se laisser piétiner!!!


Notes

[1] punaise: 80 billes et calots en tout, il faudrait que j'arrête de la gâter ;-(

mardi 10 novembre 2009

Chronique d'une copulation manquée

Un dimanche soir normal, les enfants sont en train de s'endormir (en gros, en train d'appeler toutes les 2 minutes), nous en train de ranger l'appart avant d'aller comater devant la télévision.

Dans un coin de la cuisine, un verre semble rempli d'orangina.
Bizarre car ma femme a pratiquement arrêté tout soda.
N'écoutant que ma curiosité, je hume discrètement: m'assaille alors une odeur atroce de noix de coco sucrée (bref un malibu orange).

Je me frotte intérieurement les mains (et extérieurement l'appareil génital): ce soir madame a prévu de baisser ses inhibitions, yes!!

Facilement effarouchable, la femelle se bloque lorsqu'elle est prise en flagrant délit de désir de coït:
je prends donc discrètement mes précaution (petit pipi, nettoyage, disparition de la ceinture, vérification rasage… [1]).

Retour dans la cuisine
Ma femme me dit qu'elle avait envie d'un jus d'orange
Et moi, comme un benêt, je réponds

"un jus d'orange... mais oui…"

avec en sus une petite moue libidineuse que je n'arrive pas à cacher….


Notes

[1] Attention, pas de pschit de parfum, là elle saurait que vous savez.

jeudi 5 novembre 2009

Le verre de trop

Question récurrente des dames aux messieurs!
Mais comment se fait-il que vous buviez toujours trop, que vous ne sachiez pas vous arrêter? Vous ne connaissez donc pas vos limites?

Ce n'est pas exactement cela, nous reconnaissons notre limite lorsque nous la dépassons.
Cela donne un: Oups, celui là c'était le verre de trop!

Alors oui c'est vrai, les femmes gèrent mieux leur consommation d'alcool que les messieurs.
Mais l'explication est d'une simplicité déconcertante: la limite féminine se situe en dessous de 3 verres tandis que celle des hommes est supérieure à 5.

En gros, que madame boive 1 ou 2 verres, elle aura toujours l'impression de s'être approchée de sa limite,
tandis qu'un homme devrait prendre en compte sa fatigue, sa consommation de nourriture,…( alors que dans les faits il ne prend en compte que le volume restant dans la bouteille: s'il en reste, cela pourrait être perdu et notre maman nous a appris à ne pas gâcher).




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