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Trentaine ordinaire

Petit journal extime d'un trentenaire ordinaire        

vendredi 28 octobre 2005

Attention ivresse

Je dénie toute responsabilité (et supprimerais peut-être cette note demain), il est 02h20 du mat, je reviens du apériblig j'ai bien bu, j'ai pas assez mangé et je remercie Gael/largentula et Armelle/Ardente de m'avoir ramené en voiture (comme cela, j'ai évité de me la jouer cendrillon à partir à minuit et je suis rentré à 02h00).

Sachant que je bosse de 09h00 à 01h00 du mat ce vendredi, j'ai comme l'impression que je ne vais pas être frais mais cela valait le coup.

Je vous passe les autres personnes rencontrées (vu qu'elles ne sont pas dans ma blogroll, sauf Mister Ress (qui vient d'arrêter son blog) et l'incontournable capitaine/Fred de mai/ paul vachard) mais c'était bien sympathique.

On a parlé blog, on a parlé cul, normal quoi mais ça me fait bizarre la différence entre 30 marié et 25 célibataire, on a vraiment pas la même vision du célibat. C'est vrai que le célibat me semble surtout féminin avec un arrière-goût de j'attends le prince charmant où je ne me retrouve pas, le truc de la fidélité parce que je ne pourrais jamais aimer quelqu'un d'autre ...

Non moi, c'est presque l'inverse, la fidélité, je ne la vois que si je peux aimer quelqu'un d'autre et que je ne le fais pas.

Oui je crois à l'amour fusionnel entre 2 personnes mais personnellement je ne me sens pas assez prince charmant pour accaparer l'attention totale de ma femme, et c'est là que pour moi intervient l'amour/lien marital : la faculté de résister à une personne de passage qui vous tape dans les hormones, se rendre compte que le coup d'un soir ne vaut pas le risque potentiel de perdre ce que l'on a construit ensemble sur plusieurs années.

Il est trop facile d'être saint sans tentation (et il n'est pas facile d'avoir de tentation sans seins), je remercie donc la blogosphère d'avoir mis sur mon chemin ce soir tant de jolie blogueuses et de n'avoir pensé qu'à mon lit vide qui m'attend ce soir.

Ma femme je t'aime (avec ou sans sexe, mais le sexe me manquerait beaucoup quand même).

Et oui, je sais, quand je suis bourré je suis chiant, toujours à te coller et tout et tout.

N'empêche que je t'aime quand même, bisous, bisous, bisous.

dimanche 23 octobre 2005

La minute BD

Fan de bandes dessinées comme je le suis, je ne pouvais laisser passer les 25 ans des Bidochon sans en parler.

Binet est un scénariste/dessinateur plus que talentueux et remarquable : entre Kador et les Bidochon on trouve des perles comme L'institution et Monsieur le Ministre.

En revanche, l'adaptation théâtrale est une horreur : ce qui est humour sur papier devient beaucoup trop vulgaire à l'oral.
comme pour une p.ipe qui a beau être de l'oral, il faut que cela se fasse en silence.


Et tant que je suis dans la bd, j'ai aussi envie de parler du dernier Ralf Konig : Roy & Al

Konig n'est pas un auteur que l'on peut conseiller car les us et coutumes de ses personnages ne sont pas à mettre devant tout les cerveaux : quant à moi j'adore et il m'explose de rire.


mercredi 19 octobre 2005

Frigiboom

 


Pff, c'est incroyable le nombre de femmes prêtes-à-accoucher/ justes-accouchées.

On sent que l'hiver a été pourri et que les gens sont restés chez eux le dimanche au lieu d'aller se promener.

 


Quand je pense que les économistes raisonnent avec des chiffres genre "pouvoir d'achat" pour expliquer la natalité/dénatalité alors que les bébés ne viennent du supermarché que dans très peu de cas,
le plus souvent ils proviennent du matelas (de temps en temps de la banquette, du plan de travail ou de la machine à laver -en phase d'essorage bien entendu- mais pas de la table de la cuisine qui elle n'est assez solide).

 


Mais bon un économiste pense avec son cerveau et pas avec sa b… donc il ne connaît pas bien les réalités de la vie (c'est d'ailleurs bizarre qu'il arrive à se reproduire, ça doit être par clonage –j'ai mis clonage mais je voulais mettre le mot en sissiparité mais je ne sais pas comment ça s'écrit et j'ai la flemme de chercher).

 

Tout ça pour dire qu'avec la hausse du prix des produits énergétiques, je suis persuadé que les français vont rester sous la couette dès que les températures vont baisser et que cela va résulter par un foultitude de petits bébés l'année prochaine.

 

Après le babyboom, voici donc le frigiboom
(de "réfrigérateur" hein! pas de "frigide")

mercredi 5 octobre 2005

Soupe ou potage

Le froid m'anesthésie, je suis en manque (de sommeil), j'ai trop mangé : bref je somnole.
Autant vous dire que pour la drolitude du présent billet, c'est raté vu que j'ai les neurones de l'humour qui ont la flemme de se connecter.
Vous savez que je ne suis pas un acharné du post à tout prix (et encore moins quotidien) : pour moi, "blog" rime avec "fil rss" (mouais, c'est pas une rime très riche au niveau sonore, mais au niveau web ça se complète bien) ce qui évite bien des déplacement inutiles sur la toile.

Mais là, j'ai envie d'écrire : j'ai donc le choix entre travailler et écrire un post (personnellement le choix est vite fait : tant pis pour vous, j'ai choisi le post)
Vous me direz que je pourrais aussi écrire aux impôts pour me faire mensualiser vu que cela fait un mois que le papier est sur ma table mais ça j'ai encore plus la flemme et en plus c'est pas vos oignons, en France les Impôts c'est sacré et tabou (et cher)…

Je vais profiter de l'anecdote inénarrable suivante (inénarrable parce que c'est chiant, pas parce que c'est difficile ou honteux) :
à la cantine au restaurant d'entreprise les potages sont revenus.
(je vous avais prévenus que ce n'était pas intéressant!)

Anecdote qui m'amène à vous culturer sur la différence "potage/soupe".
Une définition simple (et simpliste) : le potage est liquide tandis que la soupe est solide.

Et oui, la soupe en fait c'est le pain que tu trempes dans ton potage.
D'où l'expression "trempé comme une soupe" (que je trouvais complètement idiote - pour moi une soupe était forcément trempée vu que je croyais que c'était un potage)

Voili, voilà, c'était le moment culturel du jour : demain matin, vous pourrez donc épater votre conjoint en lui disant doctement et pompeusement (c'est pas vulgaire) avant de tremper une tartine dans le café :
"humm, j'adore la soupe au nutella le matin".

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